Le blog de l'Elfe et du Démon

Chapitre 45 :

La mort du chasseur

  Sparda, qui observait la scène depuis le sommet d’un gatte ciel sauta de son observatoire, et courut vers son fils blessé. Lorsque Dante vit son père il dit :

- Père, promet moi une chose. De quelque manière que ce soit, empêche la mort de Lucia et de maman, c’est à cause de cela que je suis mort la première fois. Empêche leur mort et tu me libéreras de ce fardeau.

- Je te le promets mon fils. Et maintenant que va t’il se passé ?

Répondit le chevalier noir. Dante couché sur l’asphalte, fixa le ciel et hurla :

- Glissa, je t’en supplies, libères moi de ton enchantement.

C’est alors que la jeune elfe apparue, elle parla d’une voix calme :

- Si c’est ce que tu veux mon amour, je le ferais.

Puis elle prononça les mots qui avaient ramener Dante a la vie il y a si longtemps :

- Tandis que gronde l’orage, sous l’œil de Dieu. Que la vie devient poussière balayée par les vents éternels du temps ! Ecoutes et obéis car ma parole est vérité et la vérité est ton maître. Par ordre de Belzébuth ou de Dieu, que celui que l’on a ramené à la vie, repose en paix, à jamais libéré du mal.

 A cet instant précis, Glissa disparue, Dante ressentit comme une vague de paix intérieur ; il se retrouva alors dans un lieu de ténèbres pur, et au centre de la pièce, se trouvait Lucia, ailles déployées, qui l’attendait, en le voyant elle dit :

- Enfin, tu as décidé de prendre le repos qui t’était dut depuis si longtemps !

- Oui cette fois, pour moi, la chasse est terminée…

  Sparda fixa un instant le corps sans vie de son fils, puis il comprit qu’il avait renoncé à se battre car cette fois il avait achevé sa tache, il avait vaincu le mal.

Le guerrier s’éloigna dans la nuit tandis que son fils accédait enfin à la paix éternelle du moins c’est ce que Dante croyait.

Chapitre 44:

L’ultime bataille

  Dante trouva Sin à l’endroit précis qu’Alnak lui avait indiqué ; Sin était immobile malgré la pluie battante, Dante s’approcha et hurla :

- Sin, Cela prend fin ce soir !

- C’est déjà finit M. Parker !

Rétorqua le monstre ; il claqua des doigts, il y eu un éclaire, et des milliers de démons apparurent comme par magie autour des deux combattants, il avait achevé son plan.

Dante savait que s’il tuait le démon, les choses redeviendraient normales ; il dégaina la Sparda, puis traîna la pointe de la lame contre le sol, enfin il dit :

- Je t’attends Sin.

Le démon, se contorsionna un instant puis il dégaina une immense faux, avant de littéralement se jeter sur Dante, qui esquiva le coup. Dante semblait être galvanisé par le pouvoir qui était contenu dans les vêtements de son ami, il frappait Sin avec une rage redoublée, ce dernier n’était pas en reste, il frappait le fils de Sparda, avec une force capable d’ébranler les fondations de la terre.

 Un instant, Sin se recula, puis il dit :

- Saviez vous M. Parker, que c’est moi qui vous est tué la première fois, et qui suis responsable de la mort de votre mère ? Franck Carter, n’était que l’une de mes nombreuses identités humaine…

A cet instant précis Dante ne se contrôla plus, il se changea en démon ; et se jeta sur Sin en hurlant :

- Par l’Enfer : qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit rouge !

Sin n’eut pas le temps de réagir, Dante le trancha en deux. Le démon, sur le point de mourir eut un sursaut de combativité, il dit :

- Je ne suis pas le seul à mourir ce soir Dante…

Puis il empala le fils de Sparda, de sa gigantesque faux.

  Dante s’écroula blessé à mort, il fixa le ciel étoilé, et compris, qu’il avait réussi une nouvelle fois, car les démons qui l’entourait avaient disparus laissant place à des humains.

Chapitre 43:

Retour au château

  Alnak semblait tourmenté par la tournure des événements, après un moment de réflexion il dit de sa voix forte :

- Ecoutez-moi bien : j’ai peur que cette fois, Sparda tu ne puisse agir, Dante seul devra combattre, j’ai peur car je vois se lever une lune maléfique, je vois venir l’adversité. Je vois des séismes et des éclaires. J’entends rugir les ouragans, je sais que la fin approche. Tu es le seul obstacle sur sa route Dante, si tu ne peux l’arrêter ce soir, je crains que pour les Hommes demain n’arrive jamais.

- Super! je suis reparti pour chasser !

Ironisa Dante.

 - Ne plaisante pas Dante, cela est trop important, Sin se trouve à présent dans les rues de New York, il semble qu’il t’attende, lui aussi est conscient de la fin !

  Quelques minutes plus tard, son père l’aidait à revêtir l’amure de Sparda ; puis à la demande de Dante, il le téléporta chez lui. Une fois dans l’appartement, Dante chercha une veille malle, d’où il sortit le chapeau et manteau d’Alucard. Puis il partit combattre, pour sauver le monde des Hommes.

Chapitre 42 :

Le piège

    Le lendemain, Sparda et Dante, s’étaient rendus au Cambodge, sur le lieu précis que lui avait indiqué le survivant de ce que les médias avaient appelés « La boucherie du hive ». Ils y trouvèrent un gigantesque temple souterrain, lorsqu’ils entrèrent, ils découvrir une immense pièce dont les murs étaient recouverts de hiéroglyphes démoniaque, que Sparda traduisit à voix haute :

- Sa parle du début et de la fin : «  chaque chose a un début et une fin, la fin des Hommes signifiera le début du règne des démons. Chaque Homme, possède un démon intérieur, lorsqu’ils se réveillerons, les Hommes périront ».

- Merde, tu veux dire qu’il veut éveiller la part démoniaque qui sommeil en chaque personne ? mais c’est impossible !

Rétorqua Dante. Son père n’eut pas le temps de répondre, une voix étrange se fit entendre :

- Mais si, c’est possible, mais de toute façon vous ne pourrez l’empêcher Monsieur Parker !

C’est alors que les douze statues qui surplombaient la pièce, commencèrent à se craqueler, pour libérer douze monstrueux griffons.

- Sa faisait longtemps !

Ironisa Sparda, puis il se transforma en démon, puis dégaina deux longues épées, et dit en direction de Dante :

- Je te présente les Yamato twins : Lucie et Ombra, c’est le forgeron de Tanos qui me les avaient offertes lors de mon couronnement.

Dante, lui aussi se changea en démon, et dégaina…la Sparda. Puis il dit en direction de son père :

- Comme tu peux le voir, je l’ais toujours !

Ce qui suivit n’était point un combat, en effet, douze griffons contre deux démons assoiffés de vengeance, cela n’était pas un combat, c’était à un massacre que Dante et Sparda se livraient. Les griffons tombaient les uns après les autres sous les coups d’épées.

  Lorsqu’ils eurent achevé ce pseudo combat, Sparda les téléporta tous deux au temple de l’île de Mallet, en effet, ils n’avaient puent empêché la cérémonie, mais ils pouvaient encore stopper Sin.

Chapitre 41 :

Entre l’ombre et la lumière

  Une nouvelle fois Dante, se rendit au temple de l’île de Mallet, pour interroger Alnak, lorsqu’il arriva sur place, le gardien, comme a son habitude, se manifesta ; il regarda une nouvelle fois le demi-démon, et lui dit :

- Je connais déjà ta question mon ami, et sache que la réponse est simple : si tu souhaite ramener ton père a la vie il faudra que tu brave les enfers, et le paradis afin de rassembler son âme humaine et démoniaque. Pour l’Enfer, je peux t’aider mais pour le Paradis, tu devras te débrouiller…

- Alors n’attends pas Alnak, le temps lutte contre nous cette fois !

C’est alors que le géant prononça quelques mots dans un langage démoniaque que Dante ne compris pas ; et soudain le sol trembla, Dante sortit du temple et il vit que l’atrium du château était en feu, un immense portail, surmonté de deux statues de griffon, sembla jaillir des flammes. Une dernière fois la voix d’Alnak se fit entendre :

- Ecoutes moi bien, Dante, fils de Sparda ; ton père est prisonnier dans l’un des cachots de tortures du quatrième cercle, pour l’en sortir, tu devras traverser le Styx et vaincre les gardiens des deux cercles suivants. Es-ce clair ?

- Oui très clair Alnak, mais je n’ais plus le temps de parler, je dois agir le plus vite possible.

Répondit Dante, qui sur ces mots, descendit dans l’atrium et franchit le portail de feu.

  Après quelques secondes d’inconscience, Dante se réveilla dans une sombre caverne, dont les murs étaient couverts de torches qu’une rivière traversait ; il comprit alors qu’il se trouvait sur l’un des bords du légendaire Styx, il décida de patienter quelques minutes et soudain, une barge émergea des ténèbres, le vieil homme encapuchonné qui tenait le gouvernail, regarda Dante et lui dit :

- Oh, toi tu n’as rien d’un mort, tu es une âme damnée qui cherche quelque chose je me trompe ?

Dante tenta de voir le visage du passeur mais ne put le trouver dans les plis de sa capuche, puis il répondit :

- Je suis Dante, fils de Sparda, et je viens libérer mon père de sa prison infernal.

- Alors monte dans ma frêle barge et je te ferais passer le premier cercle des enfers…

Sans un mots Dante embarqua, la traversée se fit en silence, un silence de mort…

  Arrivé sur l’autre berge, Dante sauta hors de l’embarcation et donna, comme la légende le voulait, quelques pièces au vieux passeur. Devant lui se trouvait à présent une immense porte, il s’avança, repoussa les battants et entra dans une immense pièce, au centre trônait un démon de grande stature, en temps normal Dante l’aurait affronté mais il savait que s’il voulait retrouver son père il lui faudrait se plier aux lois de l’Enfer, il continua à avancé et dit :

- Je suis Dante, fils de Sparda et je viens libérer mon père.

- Je suis Gareth, gardien du second cercle, ainsi tu es le demi-démon ! Si tu souhaites traverser mon cercle, il te faudra répondre à mon énigme.

Rétorqua le démon. Dante acquiesça et continua à s’approcher. Virgile reprit alors :

- « Pour moi, le jour est aussi sombre que la nuit. J’ai des milliers d’yeux pourtant, je suis aveugle. J’ai des milliers d’oreilles pourtant je suis sourd. J’ai des milliers de bouches pourtant je suis muet. Je me dis civilisé pourtant primitif je suis. Qui suis-je ? »

Dante réfléchit un instant puis il dit :

- Le cerveau, c’est le cerveau !

Virgile fixa Dante un instant, puis il dit :

- Magnifique ! Pour une moitié d’humain, tu n’es pas si stupide que je pensais ! pour te récompenser, je te guiderais à travers le second cercle.

Dante accepta et suivit son guide, ils sortirent par une autre gigantesque porte de pierre, puis ils arrivèrent dans un lieu indescriptible, où les âmes des damnés étaient torturées pour l’éternité par des démons, en voyant cet horrible spectacle, Dante eu une soudaine envi de se transformer, de dégainer la Sparda et de tous les massacrer ; mais il savait pertinemment qu’il n’avait pas de temps a perdre.

Soudain Gareth rompit le silence :

- Savais-tu Dante, que tu es le dernier demi-démon encore en vie, qui ait décidé de garder une part d’humanité, et chose encore plus rare, le seul demi-démon qui ait décider de traquer et de tuer des démons ? au fait a combien s’élève le nombre de tes victimes ?

- Environ cinq cents sans compter les Nécrons, sinon sa fait dans les trois ou quatre cents milles…

Répondit Dante froidement. Gareth eut une déglutition de peur et ne répondit rien. Lorsqu’ils arrivèrent à la porte du troisième cercle le démon gloussa :

- Amuses toi bien avec les Gogs !

Puis il disparut, laissant Dante, seul face à la porte.

  Comme pour le premier cercle, Dante franchit la porte de pierre et se retrouva dans une immense salle ; de chaque cotés ; une grille laissait entrevoir l’obscurité d’une monstrueuse tanière, a l’autre bout de la pièce, se trouvait la porte qui menait au geôles.

Dante commença à avancer pour franchir la pièce, quand soudain une voix étrange se fit entendre :

- Tu as tué notre père ! Nous allons te faire souffrir !

Avant qu’il n’ait le temps de réagir, les grilles se levèrent, laissant entrer deux énormes démons qui ressemblaient comme deux gouttes d’eau…à Phantom.

- Et merde, manquait plus que ça !

S’exclama Dante, en dégainant Ebony et Ivory. Il commença à courir tout en tirant sur ses cibles, puis il sauta, se plaça tête vers le bas et déchargea Ebony sur le monstre de gauche, qui s’écroula. Dante retomba sur ses pieds, après quelques secondes de lévitation ; puis il regarda le second monstre et dit :

- Bon, y a encore toi !

Cette fois il dégaina la Sparda, sauta et se plaça sur le dos de la bête, mais au moment où il allait l’achever, le dard de la créature vain l’empaler, Dante s’écroula sur le sol, il pensa un instant que son heure était enfin venue, mais a l’instant même où le Gog allait en finir ; ce dernier poussa un atroce cris de douleur, Dante vit alors que le monstre avait perdu tout son flanc gauche, et qu’a la place, s’était refermé les mâchoires de Cerbère. Lorsque le serviteur de Sparda eu achevé le monstre, Dante se releva, sa blessure était quasiment guérie, il sortit de la pièce et tenta de trouver la geôle de son père, après quelques dizaines de minutes il la trouva enfin, lorsqu’il ouvrit, Sparda eu un cours instant d’hésitation puis il se jeta dans les bras de son fils. Après quelques minutes, Dante expliqua rapidement la situation à son père, puis ils repartirent en direction de la berge du Styx, où le passeur les ramènerait dans le monde des Hommes. Lorsqu’ils arrivèrent enfin dans la salle du premier cercle, Dante se retourna vers Virgile, dégaina Ivory, tira une balle, que le démon reçu entre les deux yeux, et dit :

- Je sais que ça ne te tuera pas mais tu n’as plus qu’à espérer que l’on ne se revoit jamais…

Puis il aida son père a franchir la porte, et une nouvelle fois il utilisa la barge du passeur pour franchir le Styx, une fois sur l’autre rive, Sparda se servit de ses pouvoirs démoniaque, pour les ramener sur Terre.

 De retour au château, Dante conduisit son père au temple, où le chevalier noir retrouva avec une joie non dissimulée son ami Alnak, perdu depuis si longtemps.

Après quelques minutes, Dante sortit du temple, descendit dans l’atrium, se plaça au centre, leva la tête et parla en direction des cieux :

- Lucia, j’ai besoin de ton aide.

Soudain, comme venue de nul part, Lucia se trouvait en face de lui. Elle parla de sa voix douce :

- Je sais ce que tu veux Dante, mais sache que j’ignore si l’âme de ton père est prête à revenir. Néanmoins je vais t’emmener avec moi afin que tu ailles le chercher.

Elle claqua des doigts, et une nouvelle fois, Dante eu une perte temporaire de conscience, a son réveil, Lucia se trouvait à ses côtés, dans un lieu d’une beauté indescriptible. Elle l’aida à se relever et dit :

- Tu es à présent au Paradis, si tu souhaite rester, tu es le bien venu, mais je sais que pour le moment ta réponse est négative.

Dante était stupéfait de la beauté des lieux, et de plus en plus il songeait à y rester, car de plus Lucia et Glissa s’y trouvaient-elles aussi ; mais soudain, le but de sa venu lui revint à l’esprit, il demanda alors a Lucia de faire venir son père. Cette dernière s’approcha d’un ange en armure et lui dit :

- Gabriel, peux-tu faire venir Lord de Mallet, s’il te plaît ?

L’archange, broncha en langue angélique mais obtempéra, quelques secondes plus tard, il revint avec Sparda de Mallet, sous sa forme humaine du moins.

   Après de longue minutes de retrouvailles, Lucia ramena Dante et Sparda sur terre puis, utilisant ses pouvoir elle permit aux deux âmes de se rassembler pour n’en former plus qu’une. Sparda, le légendaire chevalier noir, qui avait sauvé l’humanité de la damnation, était enfin revenu à la vie.

Dante remercia Lucia de son aide, et expliqua la situation à son père ; qui en attendant le nom de Sin, eu une réaction de haine.

Chapitre 40 :

Interrogatoire

 Le lendemain, Dante fut contacté par Jack Devlin, l’un de ses nombreux amis, ce dernier dirigeait la prison de haute sécurité de Levenworth, où avait été emmener le seul terroriste survivant du massacre de la veille.

Lorsque Dante arriva sur les lieux, Devlin l’accompagna à la cellule du survivant, en lui expliquant qu’il n’avait pas réussi à lui faire avouer ne serait-ce que le nom de son organisation.

Au moment où Dante entra dans la cellule, le détenu blêmis ; Dante s’approcha et le souleva, puis il dit :

- Si tu veux survivre, dit moi tout ce que tu sais. Compris ?

- Je parlerais! je parlerais, je le jure !

Répondit l’homme. Dante le reposa à terre, et l’homme commença son récit :

- Il y a plus de sept mille ans de cela, un puissant guerrier démon, ton père, se révolta contre son empereur, lorsqu’il eut vaincu le mal, il revint à la surface, et fut assassiné par un démon du nom de Sin.

- T’as pas mieux à m’apprendre !

Grogna Dante. L’homme continua :

- une fois le meurtre commis, Sin disparu, on raconte qu’il format une société secrète du nom de Millenium, et qui aurait pour mission de le ramener à la vie le jour où le mal aura été éradiqué afin qu’il prennent le contrôle de la terre en créant une nouvelle race de démons. Etant donné que tu es en vie, cela signifie que tu as tué Shelnod, ce dernier étant l’enveloppe charnelle de Sin, tu n’as plus que 48h pour te rendre au Cambodge, dans l’ancien temple d’Ankor-vat, où se déroulera la cérémonie d’invocation de Sin. C’est tout ce que je sais, je le jure !

Dante fixa l’homme, il semblait sincère. Le chasseur sortit alors de la cellule, Devlin qui l’attendait, lui dit :

- Alors qu’es-ce que tu va faire ?

- Je vais empêcher cette cérémonie, stopper Sin, et empêcher l’apocalypse. Mais pour cela j’aurais besoin de l’aide d'une personne que je n’ais pas vu depuis très très longtemps !

Sur ces mots, il remercia Devlin et quitta la prison.

Chapitre 39 :

Le traître

 Le bureau, du consul Shelnod était plongé dans l’obscurité la plus totale, le consul attendait paisiblement dans son lourd fauteuil de cuir auto-moullant ; quand soudain un homme entra, il fixa le consul et lui dit :

- Maître, tout est prêt, mes hommes attendent votre ordre pour envahir le Hive.

- Alors allez-y, et n’épargnez personne, je me charge d’avertir les média, dans moins de trois heures, il sera sur place. Et dans quatre jours, avec ou sans son aide, le monde sera à moi !

Répondit froidement Shelnod.

L’homme sortit du bureau, il parla dans son intercom, et cinq minutes plus tard, les commandos du groupe Millenium, prenaient d’assaut le centre de recherche Hive, prenant par la même plus de huit cent otages, par mis lesquels se trouvait, Glissa Parker, du moins s’y trouvait-elle pour l’instant.

  Depuis plus de deux heures maintenant plus de deux heures que Dante avait été contacté par la police en raison de la prise d’otage du Hive, où travaillait Glissa ; il était comme toute personnes présente sur les lieux : complètement désemparé.

Un officier s’approcha de lui, et lui dit :

- Vous êtes Dante, le célèbre chasseur de démons n’es-ce pas ?

- Effectivement, pourquoi cette question ?

- Car si vous possédez les pouvoir dont les légendes parles, vous pouvez sauver ces otages, sans même être blessé, donc je ne comprends pas pourquoi vous restez là a attendre !

Répliqua l’agent. Dante le fixa et répondit d’une voix calme :

- Cela fait dix ans que je n’ais pas utilisé mes pouvoirs, dix ans que je suis en paix avec moi-même, dix ans que le démon en moi sommeil, et je n’ais pas du tout envi de le réveiller.

Soudain des coups de feu semblèrent provenir du Hive, et un policier hurla :

- Ils abattent les otages !

En entendant cela, Dante une l’impression, que quelque chose se brisait en lui, que le fragile équilibre qu’il avait établit en dix longues années, s’écroulait, et que la haine reprenait le dessus sur la paix. C’est alors qu’il fixa l’agent qui lui avait parlé quelques minutes plus tôt, et lui dit :

- Vous avez raison, je ne peux rester à attendre, j’y vais, ne tentez rien tant que je ne suis pas sortit, n’allez pas risquer vos vies inutilement.

Dante commença alors à avancer vers l’entrée du centre de recherche, puis soudain il s’arrêta et dit :

- « Que l’épée qui fut forgée dans les ténèbres apparaisse devant moi, Sparda, épée de mon père, je t’invoque ! »

C’est alors que le ciel sembla s’obscurcir, il y eut un éclaire, et la Sparda se trouvait maintenant, devant Dante ; ce dernier l’empoigna, et au contacte de la garde, un flot de souvenirs, l’envahit. Lorsqu’il entra dans le centre, aucun mot ne pouvait d’écrire l’horreur de la scène, partout, dans chaque pièce, des dizaines de cadavres gisaient. Lorsqu’il arriva dans le laboratoire principal, il vit que tout le commando terroriste s’était regroupé dans la même zone, il lui sembla un instant qu’ils l’attendaient.

Il continua à avancé, espérant, coûte que coûte, retrouver Glissa vivante ; lorsque les hommes de Millenium le virent ils n’hésitèrent pas une seconde a faire feu, mais Dante se transforma en démon ; et continua sa marche, en décapitant ses assaillants sans la moindre pitié. Après quelques dizaines de minutes d’une tuerie plus que sanguinaire, il retrouva enfin le chef de ce commando ; c’était un homme d’une grande stature, contrairement à ses équipiers il semblait entraîné dans le but de combattre le fils de Sparda ; mais lorsque ce dernier approcha, l’homme dégaina un berreta et tira sur sa droite, en direction d’une cible que Dante ne pouvait pas encore voir. Lorsque la balle atteignit son objectif, Dante compris :

L’homme venait d’abattre Glissa ; la jeune femme s’écroula, et Dante, vit ses yeux se fermer pour la dernière fois.

  Lorsque Glissa vit son kidnappeur dégainer son berreta, elle compris que son heure était venue, elle sentit la balle, la transpercer, puis plus rien, elle ferma les yeux pour la dernière fois, en voyant Dante. Elle se trouvait à présent dans un lieu, fait d’obscurité, au loin, elle distingua une forme portant de grande ailles d’un blanc immaculé ; la forme s’approcha, et Glissa reconnue celle que Dante avait aimé : Lucia.

Cette dernière prit la parole et dit de sa voix calme :

- Ecoutes moi Glissa, je suis venue te chercher pour t’emmener au Paradis, où comme moi tu pourras attendre Dante pour l’éternité.

- Mais pourquoi toi, tu était humaine avant, non ?

Demanda Glissa. Lucia lui répondit avec la même voix apaisante :

- Lorsque j’ai été assassinée, j’ai péris dans les griffes même du mal, et c’est pour cette raison que j’ai été choisie pour devenir l’ange de la mort ; maintenant, suit moi, quittons ce lieu de ténèbres.

Lucia fit alors un geste de la main, et une intense lumière sembla envahir les ténèbres, puis elle avança vers cette lumière, Glissa décida alors de la suivre.

 Le fait de voir sa femme mourir ainsi eut pour effet de rendre Dante fou de rage, ce dernier se jeta sur le meurtrier et l’emballa de son épée. Avant de mourir l’homme murmura :

 - C’était pas personnel, je te le jure, c’est Shelnod qui m’a payer pour faire ça, c’est lui le vrai meurtrier ; pas moi, c’est lui qui est responsable de ce massacre !

Dante ne put réprimer une larme de haine, lorsqu’il sortit du Hive, il hurla :

- Shelnod, tu va le payer !

Puis il se dirigea vers le bureau du consul.

  Lorsque sa porte vola en éclat, le consul Shelnod ne silla même pas, il se contenta de dire :

- Ha Monsieur Parker, vous avez mit plus de temps que prévu, mais qu’importe.

- Pourquoi ? pourquoi un tel massacre ?

Hurla Dante.

- Par pur plaisir, c’est tout.

Répondit le consul.

- La souffrance est un plaisir pour vous ? alors vous allez adorer ça !

Rétorqua Dante, en lui coupant la tête.

  Une fois le consul mort, une forme sembla émerger, de son corps ; une voix forte se fit entendre :

- Pauvre imbécile, tu m’as libérer, a présent il ne te reste que soixante douze heures pour tenter de me stopper, passé ce délais, je, régnerais sur le monde !

Chapitre 38 :

Au delà du Bien & du Mal

Lorsqu’il arriva à la surface, le cœur de Glissa avait cessé de battre ; c’est alors qu’il se tourna vers Lucia et lui dit :

- Je t’en supplies fais quelques chose, sauves-la.

- Je ne puis ; elle est désormais entre les mains de Dieu, Dante, je ne puis rien faire.

Répondit-elle. A ce moment précis, Alucard dit :

- J’ai une solution : je l’étreint, et je la libère, elle vivra de nouveau.

Sans attendre de réponse, il s’exécuta, il vampirisa Glissa, puis lorsque celle ci revint à la vie sous sa nouvelle forme de vampire, il dit :

- Glissa, je te libères de moi.

Puis elle redevint normale. Elle se leva et se jeta dans les bras de Dante, Lucia détourna le regard…

Puis Lucia prit la parole, elle dit de sa voix douce :

- Dante, en récompense des exploits, Dieu lui-même offre le repos éternel au paradis, pour ton âme humaine, si tu acceptes je scinderais ton âme en deux, il ne demeurera ici que ton âme démoniaque. Acceptes-tu ?

- Je ne peux accepter Lucia car tu offres le repos à Dan Parker, or Dan est mort, il y a bien longtemps, et bien qu’il n’ait jamais cessé de t’aimer, je ne suis plus Dan mais Dante et Dante a épousé Glissa DhillEdel, pour cette raison je ne puis te suivre, mais saches tout de même que je serrais heureux de te retrouver lorsque mon heure sera venue. J’ai néanmoins une faveur a te demander : peux-tu libérer Alucard de sa damnation ?

- Oui.

Répondit Lucia, elle prononça quelques mots en langue angélique, et pour la première fois depuis des siècles, Alucard se sentit humain.

Il fixa Dante, et dit :

- Merci mon ami ; grâce à toi je suis libre !

Avant de disparaître à jamais de la vie de Dante, il ôta, son chapeau ainsi que son manteau, puis les tandis à son ami ; puis il dit :

 - Prends ses objets, d’une autre époque ; si un jour tu dois mener le plus dur des combats, leur magie t’aidera. 

Enfin il partit sans se retourner. Entre temps, Lucia avait disparue. Dante se tourna alors vers Glissa et dit :

- j’ai une dernière chose à faire.

Il se dirigea vers le temple, y déposa l’armure de Sparda et l’épée, puis il dit à haute voix :

- La chasse est enfin finie pour moi.

C’est alors qu’Alnak se manifesta, le gardien fixa le demi-démon et lui dit :

- Soit pour le moment, j’accepte de veiller de nouveau sur ton épée, mais si un jour son aide tes nécessaire, invoque la et elle apparaîtra.

Puis il disparut.

Dante sortit alors du temple pour retrouver son épouse ; ils sortirent ensemble du château et se maillèrent à un groupe de touristes qui allait prendre l’avion pour retourner sur le continent.

Chapitre 37

Le retour de Lucia

  Malgré sa faiblesse, Dante se précipita chez lui, comme pour ce prouver à lui-même, que ce que le démon lui avait dit était faux. Lorsqu’il entra dans l’appartement, il ne put que constater l’atroce vérité : un violent combat avait eu lieu ici, et Glissa avait été enlevée.

  Soudain, une lumière d’une pureté aveuglante, éclaira la pièce, une forme, apparue au centre de la pièce ; Dante faillit s’écrouler, lorsqu’il reconnut…Lucia.

La jeune femme le fixa quelques instant, puis elle dit de sa voix douce :

- Dante, je comprends que tu sois choqué, j’ai été envoyée par Dieu pour t’aider à retrouver ta femme ; mais sache que je suis vraiment heureuse de pouvoir te revoir et t’aider.

Dante ne répondit rien ; c’est alors que des dizaines de chauves souris entrèrent dans la pièce, et se rassemblèrent en une forme de très grande taille : Alucard.

  Voyant le vampire, Lucia dégaina une petite dague, et lui planta dans le cœur, avant qu’il ne réagisse. Alucard dégaina son Casull et le plaqua sur le front de Lucia. Au moment précis où il allait tiré, Dante sembla se réveiller ; il hurla :

- Alucard, non ! ne tire pas ! elle est ici pour nous aider, c’est Lucia Harker.

Le non-mort rengaina son arme et dit :

- Souviens-toi Lucia, souviens d’Alucard !

Et tandis que les souvenirs revenaient dans l’esprit de Lucia ; il retira la lame et dit :

- ça fait mal c’est petit jouets, quand c’est pas Mina, c’est son arrière petite fille qui me plante avec une lame bénite ; c’est la tradition dans votre famille ?!

Lucia le regarda et dit :

- Désolée, je t’ais pris pour un des kidnappeurs

Dante les regarda tous les deux et finit par dire :

- Bon ce n’est pas le tout, les enfants, mais, moi je n’ai plus aucun pouvoir, ma femme a été enlevée, et je vais devoir affronter une horde de vampires et autres démons pour la récupérer, un coup de main de deux personnes ne serais pas de refus !

  Dante, Lucia et Alucard, durent prendre le seul vol de nuit afin de se rendre sur l’île de Mallet. Bien qu’il n’est apparemment plus aucun pouvoir, Dante était persuadé qu’il pouvait tout de même combattre.

 Au bout de quelques heures de voyages, il se tourna vers Lucia et lui demanda :

- Lucia, pourquoi et comment es-tu revenue ?

- Je te l’ais dit Dante, c’est dieu qui m’a envoyée pour t’aider, mais il ne pensait pas que…ce monstre serait là aussi ! il m’a donné les pouvoirs d’un ange, ce qui me permettra de t’aider. Mais je reste persuadée que tes pouvoirs n’ont pas disparus, tu n’arrives plus à les contrôler c’est tout.

Le reste du vol fut extrêmement silencieux, lorsque le jet se posa, les trois amis se dirigèrent vers le château, grâce aux pouvoirs de Lucia, il entrèrent sans se faire remarquer par les gardes en poste ; puis ils se dirigèrent vers la porte infernal ; Dante l’ouvrit une nouvelle fois ; quelques secondes plus tard, Lucia fixa l’escalier qui menait au monde souterrain ; voyant son hésitation à y aller Alucard ne put s’empêcher de dire :

- Et oui, c’est là que nous allons, mon ange !

- Monde des enfers, me revoilà !

Ironisa Dante, avant de s’engouffrer dans le tunnel, Alucard et Lucia, le suivirent.

  Après quelques heures de marche, ils arrivèrent enfin au-dessus de la salle du trône, en contrebas, ils virent des centaines de vampires, le démon qui avait attaqué Dante…et Néro angelo. En le voyant Dante ne put réprimé plus longtemps ses sentiments, il dit :

- salopard !

Puis il se tourna vers Alucard et dit :

- tu peux-tu me téléporter en contrebas ?

- ouais aucun problème.

Répondit ce dernier. Dante se tourna ensuite, vers Lucia, elle se concentrait, puis elle dégaina deux petites faucilles ; déploya des ailes d’une blancheur éclatante puis sauta en hurlant :

- Pour toi, Dante !

Une fois en contrebas ; le massacre commença ; Alucard tuait des vampires par dizaines, tandis que Lucia combattait le démon qui avait attaqué Dante, au bout d’un certain temps, elle réussie à lui enfoncer l’une de ses lames dans le ventre, et avec l’autre elle le décapita ; le monstre s’écroula.

  Durant tout ce temps, Dante avait mit Néro Angelo en Joux avec Ebony, le démon le fixa et lui dit :

- Dante, mon frère, c’est pas la peine de me braquer ton arme, je ne suis plus réel, depuis bien longtemps, je ne suis qu’un spectre, et je suis ici pour…te redonner tes pouvoirs et bien plus encore.

Dante le fixa sans dire mots, puis Néro, dit :

- Maintenant assez de discours, je vais te rendre ce que tu as perdu, prend ma main mon frère.

Dante prit la main du fantôme, et se retrouva dans une sorte de brume, au milieu du brouillard se trouvait Néro Angelo, de sa voix forte il dit :

- Par les ténèbres, que ce qui lui a été retiré lui soit restitué, et que le démon reprenne sa place légitime.

C’est alors que Dante se sentit de nouveau lui-même, il se sentait plus fort et rapide que jamais, il était redevenu un demi-démon. Et il allait combattre pour retrouver sa femme. Il se releva et fixa son défunt frère, puis il dit :

- Grâce à toi, j’ai retrouvé mes pouvoirs, mais maintenant je fais quoi ?

- Prends ceci mon frère.

Le fantôme lui tandis un plastron d’un noir de Jay ; sur lequel était imposé le blason de Sparda. Dante enfila le plastron, une fois en place, le plastron, sembla s’éveiller, une matière étrange sembla en jaillir, parcourrant le corps de Dante, formant une magnifique armure, noir.

Néro Angelo reprit la parole :

- Voici…la seconde partie de la Sparda. Maintenant déchaîne ses pouvoirs, sauves ta femme, et anéantis l’enfer pour de bon !

Néro Angelo claqua des doigts et Dante se réveilla en plein centre de la bataille, il dégaina la Sparda, se transforma en démon et combattu avec une rage décuplée.

La pièce se remplie de nouveau des troupes infernales, au fond de la pièce se trouvait ; dans une cage dorée, à moitié morte, Glissa, à côté de sa prison se trouvait une immense forme de pures ténèbres.

La forme parla :

 - Dante fils de Sparda, cela fait trop longtemps que tu empêches les enfers de s’étendre, c’est terminé ! Si tu veux revoir la mourante, tu devras vaincre mon armée, seul !

Dante se tourna vers Alucard et Lucia et leur dit :

- remontez à la surface ceci n’est pas votre combat mes amis !

Lucia et Alucard semblèrent comprendre les motivations de Dante ; puis ils disparurent comme par magie.

  Dante dégaina la Sparda, se transforma en démon et combattu avec une rage décuplée, les soldats de l’enfer tombaient les uns a la suite des autres, et à chaque fois, ils revenaient encore plus nombreux, tel un déluge infernal qui ne cesserait qu’après la mort du chevalier noir. Dante se calma quelques instants, puis il pensa à Glissa et aux paroles de son frère :

- « Voici…la seconde partie de la Sparda. Maintenant déchaîne ses pouvoirs, sauves ta femme, et anéantis l’enfer pour de bon ! »

Enfin, il compris, l’évidence : s’il voulait déchaîner les pouvoirs de la Sparda, il ne devait ne plus faire qu’un avec l’armure et l’épée.

 Il continua à repousser les vampires et autres démons, tout en canalisant toute sa puissance dans l’épée, au moment précis ou il se sentit près, il enfonça l’épée dans le sol, en hurlant :

- Par l’enfer, que le néant retourne au néant.

C’est alors qu’un anneau d’énergie pure, se dégagea de la Sparda, rasant tout sur son passage.

Dés qu’il eu vaincu les troupes infernal, Dante se dirigea vers Glissa et la forme noire ; le chose prit la parole :

- Tu te crois puissant n’es-ce pas demi-démon ? mais tes pouvoirs ne sont rien comparés aux miens. Je me nome Darkness ; je suis le créateur…du mal. et ce n’est pas un pauvre humain qui me stoppera ! je peux t’en assurer !

- J’ai déjà entendu ça quelques part !

Ironisa Dante.

  Sans crier gare, Darkness se jeta sur Dante, enchaînant les coups, puis il arrêta de le frapper, et…l’empala avec son bras gauche. Dante cracha un peu de sang, puis repensa à tout ce qu’il avait déjà accomplit ; il ne supportait pas l’idée de mourir maintenant.

Une dernière fois il fit appel à ses pouvoirs, mais cette fois l’armure sembla réagir, Dante sentit ses ailes poussées, son corps se transformer, mais il y avait autre chose, il regarda son bras droit : il était maintenant impossible de différencier l’armure du bras et de l’épée, il ne faisait plus qu’un avec la Sparda. Il se sentait plus puissant que jamais, il frappa Darkness avec une telle puissance que ce dernier s’effondra à terre en beuglant :

- c’est impossible tu devrais être mort !

- la preuve que non.

Répondit Dante, qui le frappa de nouveau, puis il cria :

- Je te bannis à jamais de notre dimension, Darkness.

Enfin il frappa le sol avec la Sparda, une brèche sembla s’ouvrir, Darkness y chuta et le sol se referma.

  Dante se précipita vers Glissa, mourante, il la prit dans ses bras et lui murmura :

- ça va aller, mon amour, tu va t’en sortir, bas toi !

- C’est la fin Dante.

Murmura l’elfe. Dante se dirigea alors vers la surface, où l’attendait Lucia et Alucard

Chapitre 36 :

Hérébus

  Cela faisait plus de deux heures que Dante attendait que sa proie, se manifeste, soudain il entendit la voix d’Alucard dans l’intercom :

- Dante ? j’ai la fille ; t’en es où avec Hérébus ?

- J’attend la cible ; t’as fait vite ; bravo !

Répondit Dante, quand soudain, il vit enfin l’homme sortir de l’immeuble ou il se cachait, il se dirigeât vers une petite rue, Dante décida de le suivre, se rapprochant de lui il cria :

- Hérébus ! arrêtes toi ou je te tire dans le dos !

Le vampire continua sa route comme si de rien n’était, il enfourcha sa moto et tenta de s’enfuir ; c’est alors que Dante, dégaina Ebony et tira sur l’engin qui explosa ; propulsant Hérébus, contre le sol.

  Dante s’approcha, et souleva le monstre, puis il dit :

- Qui est ton maître ? quelle est ta mission ?

- Je ne suis qu’une diversion, au même titre que mon ami le prêtre ! nous devions vous occuper toi, et le non-humain, tandis que mes hommes…

Il y eu une sorte d’éclair, et le vampire tomba en poussière, Dante, vu alors le responsable : un démon armé d’une double faut. Ce même démon commença à parler :

- Je n’aurais que peu de mots, Dante fils de Sparda ; depuis trop longtemps, tu empêches les ténèbres de s’étendre, c’est maintenant terminé ! en effet, mes hommes viennent d’enlever ta femme ; si tu veux la revoir, viens dans quatre jours sur l’île de Mallet, redescend en enfer et combat moi. Si tu venais à échouer…

Il claqua sa faut au sol et hurla :

- Par l’enfer, que le démon laisse place à l’homme et que toutes formes de pouvoirs lui soit ôté.

  Puis il disparut, Dante se sentit alors très faible ; il comprit qu’après en il n’était plus qu’un homme normal ; rien de plus.