Devil May Cry: chapitre 45
Chapitre 45 :
La mort du chasseur
Sparda, qui
observait la scène depuis le sommet d’un gatte ciel sauta de son
observatoire, et courut vers son fils blessé. Lorsque Dante vit son père il
dit :
- Père,
promet moi une chose. De quelque manière que ce soit, empêche la mort de Lucia
et de maman, c’est à cause de cela que je suis mort la première fois. Empêche
leur mort et tu me libéreras de ce fardeau.
- Je
te le promets mon fils. Et maintenant que va t’il se passé ?
Répondit le chevalier noir.
Dante couché sur l’asphalte, fixa le ciel et hurla :
- Glissa,
je t’en supplies, libères moi de ton enchantement.
C’est alors que la jeune
elfe apparue, elle parla d’une voix calme :
- Si
c’est ce que tu veux mon amour, je le ferais.
Puis elle prononça les mots
qui avaient ramener Dante a la vie il y a si longtemps :
- Tandis que gronde l’orage, sous l’œil de Dieu. Que la vie devient
poussière balayée par les vents éternels du temps ! Ecoutes et obéis car ma
parole est vérité et la vérité est ton maître. Par ordre de Belzébuth ou de
Dieu, que celui que l’on a ramené à la vie, repose en paix, à jamais libéré du
mal.
A cet instant précis, Glissa disparue, Dante
ressentit comme une vague de paix intérieur ; il se retrouva alors dans un
lieu de ténèbres pur, et au centre de la pièce, se trouvait Lucia, ailles
déployées, qui l’attendait, en le voyant elle dit :
- Enfin,
tu as décidé de prendre le repos qui t’était dut depuis si longtemps !
- Oui
cette fois, pour moi, la chasse est terminée…
Sparda fixa un
instant le corps sans vie de son fils, puis il comprit qu’il avait renoncé à se
battre car cette fois il avait achevé sa tache, il avait vaincu le mal.
Le guerrier s’éloigna dans
la nuit tandis que son fils accédait enfin à la paix éternelle du moins c’est
ce que Dante croyait.