Devil May Cry: chapitre 2
Chapitre 2 :
Les larmes du démon
Cela faisait maintenant cinq ans que Sparda vivait
par mis les hommes, il avait apprit à les respecter et à les aimer, en effet,
il s’était marié avec Nora de Monmirail, avec qui il avait eu une fille, qu’il
avait confié à l’éducation d’Alastor, la veille oracle de la citée ; après
en Nora attendais un deuxième enfant.
Comme
chaque jour Sparda effectuait son tour de garde sur les remparts, lorsqu’un
soldat arriva en courrant et dit :
- Seigneur
Sparda, Seigneur Sparda, votre femme, va accoucher, venez vite, Alastor est
déjà sur les lieux.
- Merci
de m’avoir prévenu soldat, tu seras récompensé.
Lorsque le chevalier noir arriva, il vit les yeux
effarés de l’assistance, visiblement Nora avait accouché, et visiblement, le
bébé…n’avait pas forme humaine !
Alastor fixa Sparda, et cria :
- C’est
un démon ! Capturez-le et enfermez-le dans la tour.
Sparda, ne dit mots et se laissa emporter dans la
donjon.
Cela
faisait cinq ans que Munduss, attendait ; cinq ans que son armée se
réunissait dans les profondeurs du monde sous-terrains, et depuis cinq ans
Sparda, son plus puissant et fidèle général n’était pas revenu de la surface.
Il convoqua Kalliar, l’un de ses généraux, et lui dit de sa voix forte :
- Nous
ne pouvons plus attendre le retour de Sparda. Nous devons attaquer maintenant
le premier royaume des hommes, Kalliar, rassemble tes légions et marche sur
Tanos, la citée d’Ivoire.
- Bien
maître, ce soir, Tanos sera détruit, et le monde sera sur le point de tomber
sous les coups de nos armées.
Sparda
était maintenant détenu depuis plusieurs heures dans l’un des donjons de la
citée, quand son épouse, Nora vint enfin lui parler :
- Vous
nous avez mentit et vous nous avez trahi démon, vous serez détruit demain dés
l’aube.
Avant que Sparda n’est le temps de répondre, il
entendit un son sourd, comme si des milliers de soldats approchaient ;
puis un garde hurla :
- Ils
viennent pour le démon, préparez-vous au combat !
Sparda, entendit la voix forte de Kalliar, qui
hurlait à ses troupes :
- Formez
les rangs vermines, tuez tous ce qui vit dans cette ville, marchez sur Tanos,
et que l’aube soit rouge !
Nora se tourna vers Sparda et lui dit en
pleurant :
- A
cause de vous, nous allons tous être damnés.
- Non,
ils ne viennent point me libérer mais vous anéantir, je vous en conjure,
laissez moi sortir et je vous protégerais.
C’est alors qu’il entendit de nouveau Kalliar :
- Pénétrez
dans la citée, et tuez tout, même les femmes et les enfants !
En entendant ces mots Sparda, pour la première fois
de sa vie, pleura de rage, il reprit forme démoniaque, se concentra, fit
exploser le mur de sa cellule, et s’envola.
Il
dégaina la Sparda, qu’il avait caché, par magie, dans son dos, et hurla :
- Par
l’Enfer : qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit
rouge !
Puis il fondit sur les troupes infernales, déciment
leurs rangs sans aucune pitié, ni aucun mal ; cerbère, qui sous sa vraie
forme avait rejoint son maître, se livrait à une véritable boucherie !
Lorsqu’il
ne resta plus que Kalliar, debout au milieu des morts ; ce dernier fixa
Sparda et lui dit :
- Traître
comment peut-tu renier notre empereur, il te le fera payer !
- Retournes
au Néant qui t’attend vermine !
Lui répondit Sparda en le décapitant. Puis il reprit
forme humaine et rentra dans la citée, se faisant acclamer de tous.