Devil May Cry: chapitre 34
Chapitre 34 :
Stryker
Il faisait
une nuit d’encre, seule les pâles rayons de lune permettait de distinguer
quelque chose. Un homme, de taille moyenne, ayant les cheveux d’un blanc pur,
entra dans l’hôtel. Il s’approcha du guichet et dit :
- La chambre de William Strycker,
vite !
- 212, Monsieur, dois-je vous
annoncer ?
Répondit le réceptionniste. L’homme le fixa et dit :
- Non pas besoin.
L’homme monta jusqu’à la chambre indiquée, puis il
cria :
- Strycker, montre-toi, car justice va
être faite ; tu as kidnappé, violé et tué, six fillettes, en l’espace de
deux semaines.
Il défonça la porte entra et continua :
- d’habitude c’est pas mon rayon, mais tu
as fait cela, pour accomplir un rite satanique, et là, dommage pour toi, ça me
concerne !
Strycker était comme figé, au centre de la pièce, il puait
l’alcool ; il fixa l’homme au manteau et dit, du voix craintive :
- Mais qui es-tu ?
- Tu peux m’appeler…Dante, et je suis là
pour te tuer pauvre larve !
Soudain prit de panique Strycker, se retourna, courut vers
l’escalier de secours extérieur, et sauta, il toucha terre en se brisant le
bras gauche, et continua à courir jusqu’à l’entrée du métro. Dante s’approcha
de la fenêtre, dégaina Ivory, visa et toucha sa cible en plein genou droit,
Strycker hurla, Dante sauta par la fenêtre, et se reçu sans aucuns
dommage ; puis il continua la poursuite.
Strycker s’emboucha, dans le métro,
Dante le rejoignit quelques seconde plus tard, il lui dégomma le deuxième
genou ; le criminel s’effondra, Dante le souleva et le jeta sur les rayes.
Quelques secondes plus tard une lumière commença à apparaître au bout de la
voie, Dante se pencha et dit :
- Hé Strycker, cette lumière au bout du
tunnel, s’est pas le paradis, c’est juste la ligne E ! on se revoit en
enfer !
Puis il se transforma en démon ; sous les yeux
écarquillés de Strycker, qui quelques secondes plus tard était broyé par le
métro. C’est alors que Dante dit :
- Que celles
dont tu as brisé les vies, reposent en paix après en.
Trois heure plus tard, Glissa Parker,
regardait l’holonet, lorsque soudain il y eu un flash spécial ; la
journaliste parlait avec calme :
- Il semblerait que William Strycker, le
meurtrier présumé, de six fillettes, vienne d’être lui-même la victime, du
mystérieux vigile qui rode dans les rues de New York, et qui ne s’attaque qu’à
des crimes ayant un rapport, avec les cultes satanique ; on vient
retrouver son corps, atrocement broyé par la ligne E. A cet instant précis
Dante entra dans l’appartement ; Glissa se retourna et dit :
- C’est ton œuvre hein ! il n’y a
plus de démons, alors pourquoi ?
- Car le mal existe toujours.
Répondit Dante calmement.
- Il perdurera toujours Dante, tu ne peux
l’empêcher.
- Mais je peux essayer de changer cet
état de chose Glissa ; toute ma vie : mon travail, mon destin a été
de combattre le mal, et c’est toujours le cas !